Comme une claque La vie ça t'éclate quand tu n'es pas malade c'est toi même qui te rends maussade. Comme une sorte de paresse certaines choses te dépassent mais tu ne veux pas les comprendre tes pensées sont ailleurs. Comme un nuage de brume qui te masque la réalité avec un optimisme cynique tu vis dans ce monde en voulant ignorer la réalité

Comme une flamme comme de la came je me consume sans que je l'assume dès que l'on se montre au monde ce n'est que blame alors je reste acouder à ma fenêtre et je fume. En fermant les yeux je peux presque sentir ses mains mais elles n'arriveront pas à leur fin me réveillerai-je enfin de ce rêve avant que mon coeur crève. Comme une poignée de sable je prendrai juste ce qu'il faut afin qu' il m'en reste tiens cela me rappelle une fable celui qui peut le plus obtient le moins, car c'est l'autre qui teste.

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Pourquoi je ne ressens pas la même chose qu'eux
pourquoi certaines choses m'atteignent si peu
comme si la vie n'avait pas d'importance
et qu'il n'y aurait donc pas besoin de la vivre à outrance

Certaines personnes attendent la mort pour aller vers un autre paradis
tandis que d'autre pense que l'enfer c'est-ici
Mais plus on y pense et plus l'on se dit que tout est affaire de perception
du coup il n'y aurait pas de reelles exceptions.

Tout ce qui m'entoure reçoit une analyse par mon esprit
comme une sorte de passoire qui filtre petit à petit
On retient chacun son propre plancton
de manière à les intégrer dans nos informations

On obtiendra ainsi autant de mondes que d'individus
Et la réalité serait faite de tous ces résidus
Ainsi une personne seule ne peut pas voir le monde
mais un reflet qu'elle transforme dans son imaginaire et qui l'innonde